Le chant du coq, serait-ce le matin?... La rosée gelée sur les dernières fueilles des arbres, effectivement, la journée début.
A l'ouest, le disque solaire commence à faire son apparition au delà de la foret que vous regardez, quand soudain, quelque chose apparait dans son luisant éclat. De votre fenètre, vous commencez à distinguer la forme d'un cavalier, mais tout semble trouble, peut-être que vous n'êtes pas encore bien réveillé? Mais non...
Une cape volant au vent donne une impression surnaturelle au cavalier, que maintenant vous pouvez observer. Montant un destrier blanc caparaçonner d'écaille brillantes, un homme en armure lourde avance sur la route, droit sur sa selle de guerre.
Serait-ce sa taille, sa chevelure blonde flottant au vent, ou bien sa puissance visible, vous n'en savez rien, mais il n'en reste pas moins que cette impression noble émane de lui comme si un prince était devant vous.
Après avoir encore détourner le regard une fois, à cause de ce soleil rasant, vous voyez que le cavalier s'est rapprocher. Vous pouvez maintenant le dévisagé tout votre saoul. Ce qui attire d'abord le regard est le symbole ornant son armure et son caparaçon : une tête de femme orné d'une couronne de cheveux enflammés. Alors que vos reflexe d'aventurier prennent le dessus, vous remarquer d'un coup d'oeil le fouet et l'épée longue qui ornent sa ceinture, ainsi que l'écu brillant dans son dos.
Le cavalier tourne alors la tête vers vous, et sourit en hochant la tête. Vous voyez alors un visage indemme de toute blessures ou cicatrice, comme si cet homme n'avait jamais rien connu d'autre que les coussins de sa chambre moelleuse, mais arriverez-vous à soutenir son regard azuré?